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    • Utilisation des gélatines (gels) de flash Bonjour. Ces petites feuilles de platique transparent de différentes couleurs a les fonctions suivantes suivant leur type: 1- Gels créatifs: De toutes les couleurs, on les utilise pour changer la couleur de l'ambiance ou d'un fond en général. 2- Gels correctifs: La lumière de flash est proche de la couleur du jour à midi ensoleillé, de 5400 à 5700 Kelvin. Le problème c'est que si on mélange lumière de flash avec lumière ambiante, la température de couleur peut être différente. Par exemple éclairer une personne pendant un couché de soleil donnera une ambiance orange et une personne bleu à cause du flash. La solution c'est de mettre une gélatine orange sur le flash afin que le flash envoie une couleur orangée comme le soleil à cette heure là. Les gels oranges s'utilisent aussi pour équilibrer avec une lumière tungstène ou chaude. les gels verts pour équilibrer avec les tubes néons non calibrés lumière du jour. Les gels bleus sont à utiliser quand on fait rebondir la lumière sur une surface comme un mur, mais celui-ci ayant une couleur autre que blanche, modifie la couleur du flash, il faut donc la renforcer avec plus de bleu. Les noms sont CT (Color Temperature) CTO orange CTB bleu CTG vert (green) et on une densité 1/1 1/2 1/4 on peut les empiler. Mais ne pas oublier qu'il y a une perte de lumière. 3- Les gélatines de densité neutre. Si par exemple le flash est à puissance minimum et qu'il y a encore trop de lumière, on place alors une gélatine qui coupe la lumière. 4- Pas vraiment une gélatine mais ça y ressemble, filtres polarisants pour flash. Ça permet de polariser la lumière émise et utiliser en coordination avec un filtre polarisant sur l'objectif orienté à 90 degrés par rapport à celui du flash, les reflets du flash seront supprimés. Ça s'utilise pour la reproduction de peintures par exemple. ATTENTION: il ne faut pas utiliser n'importe quoi comme gel, les feuilles couleur pour recouvrir les livres d'école ne sont pas du tout faits pour ça et ils fondes et peuvent endommager le flash. Il faut mieux acheter des gels du commerce: par exemple https://dp.gt/a/rkqpb4nph

      Démarré par : Eric Gibaud dans : Éclairage flash

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    • il y a 1 année et 6 mois

      Eric Gibaud

    • La règle des tiers Bonjour. C'est surement une des règles dont on parle le plus. Evidement aucune règle n'est obligatoire, mais les connaitre permet de prendre des décisions et d'éviter une composition bancale. C'est très simple. On décompose la photo en tiers verticaux et horizontaux, donc 9 petits rectangles séparés par 2 lignes verticales et 2 horizontales sur les tiers. L'important est de placer les éléments clef sur les lignes de tiers. Par exemple un horizon sur la ligne de tiers supérieure si l'important c'est le sol, et sur l'inférieure si l'important c'est le ciel. Si il y a un arbre par exemple, et bien sur une des lignes de tiers verticales, soit celle de droite soit celle de gauche. L'important c'est de ne pas mettre les éléments sur la ligne du centre verticale ni horizontale. Cette composition ne fera peut-être pas la photo du siècle mais permet d'avoir une composition équilibrée même si elle est classique.

      Démarré par : Eric Gibaud dans : Composition

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    • il y a 1 année et 6 mois

      Eric Gibaud

    • Utilise la paume de ta main…. Absolument toutes les paumes de la main des humains ont la même densité. Zone 6 dans le système de zone. Peu importe la couleur de la peau du reste du corps de la personne. Ceci veut dire que si on n'a pas un carton gris 18% pour mesurer la lumière avec une cellule ou avec l'appareil, on peut mesurer sur la main. Un carton gris 18% est pratiquement une zone 5 donc, on sait qu'il faudra surexposer la mesure de 1 stop. Par exemple si en pointant mon appareil vers ma main, en la plaçant comme la photo sera orientée, et que ça m'indique par exemple ISO 100 F8 1/250s sur une zone 6... la cellule de l'appareil croit que c'est une zone 5... donc il suffit de corriger et d'ouvrir un diaphragme ou descendre une vitesse ou monter un ISO. ISO 100 F 5.6 1/250s ou ISO 100 f8 1/125s ou ISO 200 F8 1/250s

      Démarré par : Eric Gibaud dans : Exposition

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    • il y a 1 année et 6 mois

      Eric Gibaud

    • Protéger les hautes lumières en numérique A chaque nouvel appareil photo on nous vend un super rang dynamique… mais on oublie de nous expliquer le plus important. D’abord ça ne veut pas dire grand chose… nous annoncer un rang de 14 ou 15 quand le système de zone qui va de blanc pur à noir absolu en a 11, de 0 à 10… En réalité on devrait parler de mesure de bruit dans les ombres. Un rang dynamique de 14 au lieu de 12 ne veut pas dire qu’on aura plus de détails dans les hautes lumières sans “percer” mais qu’on pourra mieux récupérer les ombres sans bruit. Donc les problèmes de haute lumière reste sans solution…. Ceci veut dire que quand on expose, l’important c’est de ne pas percer les hautes lumières quelque soit l’appareil qu’on utilise… on arrivera difficilement à une surexposition de plus de 2 à 3 stops sans perdre les détails dans les hautes lumières et ça sera irrécupérable. Cette surexposition est utile car en menant l’exposition à la limite de l’irrécupérable, on obtient plus de lumière dans les ombres. En post-production il suffira de réajuster l’exposition des hautes lumières et on aura du détail sans trop de bruit dans les ombres. Donc il faut absolument surveiller les hautes lumières en calculant l’exposition car plus on arrivera à frôler la limite sans cramer plus on aura de détails sur toute la photo.

      Démarré par : Eric Gibaud dans : Exposition

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    • il y a 1 année et 6 mois

      Eric Gibaud

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